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Tag: françoise_sagan

Et puis un jour, ce fut la fin.
Comment aurais-je pu être une grande âme ?
On peut être aussi attaché à des futilités qu’à autre chose.
C’est un miroir aux alouettes.
Cela n’a pas grand sens.
Quelqu’un m’avait-il jamais manqué ?
Il y a la tendresse constante, la douceur, le manque…
Des instants épanouis, sans cohérence.
Ce n’est pas une suite de sensations indépendantes les unes des autres…
Vous vous faites de l’amour une idée un peu simpliste.
Je crois que c’est une idée fausse.
Les gens disent que la sieste est très reposante.
Nous avions tous les éléments d’un drame.
Elle me lança un coup d’œil amusé et insolent.
En ce moment-là, je l’aimais.
Il n’était même pas ridicule.
Toujours aussi rosse.
Vous devez prendre trois kilos pour être présentable.
Je ne mets pas de nom à ces souvenirs.
Je passai une heure à faire des hypothèses.
Je ne trouvai rien à répondre.
Je me refusai énergiquement à participer à l’expédition.
C’était à la fois excitant et fatigant.
Sentiments qui lui venaient d’autant plus facilement qu’il les voulait, les savait provisoires.
Pourquoi es-tu si efflanquée, ma douce ?
Elle était aimable et lointaine.
Cette indifférence était la seule chose qu’on pût lui reprocher.
Je n’y aurais jamais pensé.
Nous étions trop tranquilles, cela ne pouvait durer !
Car, que cherchions-nous, sinon plaire ?
Il était grand et parfois beau, d’une beauté qui donnait confiance.
Il était agréable d’avoir des idées faciles.
Aujourd’hui, quelque chose se replie sur moi comme une soie.
Le beau nom grave de tristesse

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